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Giovanni Soldini e Karine Fauconnier continuano a dominare nella prima tappa della Les Sables-Horta-Les Sables, la regata in doppio dalla Francia alle Azzorre e...

Les Sables-Horta-Les Sables – Les Sables d’Olonne – Giovanni Soldini e Karine Fauconnier continuano a dominare nella prima tappa della Les Sables-Horta-Les Sables, la regata in doppio dalla Francia alle Azzorre e ritorno, mantenendo sempre la testa della flotta dei Class 40, quando mancano solo 130 miglia all’arrivo a Horta.

Al rilevamento delle 8.00 Telecom Italia mantiene un vantaggio di 39 miglia sui belgi di Zed 4 (Gérald Bibot e Didier Le Vour’ch) e di 47 miglia sull’imbarcazione australiana Palanad II (Nicholas Brennan e Oliver Bond).

Dure le condizioni meteorologiche, come racconta Soldini al telefono: “Siamo entrati da qualche ora nel fronte, c’è pochissimo vento ma è rimasto il mare. Stiamo ciondolando con una pioggerellina fastidiosa, sei nodi di vento e tre metri d’onda. Ci stiamo avvicinando alle Azzorre molto lentamente, speriamo che il vento rinforzi un po’. Sarà una giornata molto dura, fino all’arrivo bisogna tenere gli occhi bene aperti”.

L’arrivo a Horta di Telecom Italia è previsto nella tarda serata di oggi.

La partenza della seconda tappa della regata, da Horta a Les Sables d’Olonne, è in programma per il 15 luglio.

Francia
LES SABLES-HORTA-LES SABLES, SIEGE A BASCULE

[Les Sables-Horta Press Releas
] Au classement de 8.00 (TU+2) la flotte abordait visiblement le dernier front froid à négocier avant la descente sur les Açores. Telecom Italia, en solide leader avait déjà viré de bord pour entamer son dernier tronçon vers la ligne d’arrivée. Au vu des vitesses affichées il semble bien que le vent ait fortement molli à l’arrière du front.

Pour les poursuivants du duo Soldini–Fauconnier, toute la problématique va être de trouver le bon tempo pour enclencher le virement de bord. En deuxième position Zed 4 (Gérald Bibot – Didier Le Vourc’h) a réussi durant la nuit à creuser un écart d’une dizaine de milles sur les autres prétendants à la place de dauphin. Destination Calais, quant à lui, n’a pu résister au retour de ses poursuivants. Au nord de la flotte, Groupe Partouche espère bien tirer un avantage significatif de sa position légèrement excentrée… Pour tous, le vent a refusé les obligeant à infléchir leur route vers le nord-ouest.

Tout est maintenant question de timing: virer trop tard, c’est avoir fait de la route en plus et prendre le risque de de voir des concurrents plus habiles passer par en dessous; virer trop tôt, c’est prendre le risque de ne pas pouvoir passer sur un seul bord et devoir tirer des bords aux abords de l’archipel des Açores quand les vents deviennent plus capricieux: une opération à haut risque mais qui peut permettre de grappiller de précieux milles. Attention, entre un tour de force et un tour de cochon, on a coutume de dire que c’est la réussite qui fait la différence.

Au vu des informations reçues des différents concurrents, un vent mollissant et un brin de soleil seraient visiblement fort appréciés en guise de cadeau de bienvenue sur l’archipel… Un atterrage sur les Açores sans avoir pu distinguer, au loin, le sommet du Pico, n’a pas la même saveur.

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